lundi 24 décembre 2012

Joyeux Noël


Qu'il est bon d'être chez soi  = ]

 



 Lisztomania, parce que je suis trop Youpi-d'la-vie parce que c'est Noël, parce que je retrouve mon petit quotidien avec ma famille, mon amoureux, mes amis, mon chez moi, Rouen... Du coup, ça bouge tout seul, je suis toute contente. Envie de danser et chanter que la vie est belle. 


 ☺

 

Profitez bien des fêtes et ne mangez pas trop de chocolat.

(offrez-les moi, c'est pour votre bien.)



samedi 15 décembre 2012

if all else fails...


 


buy more

 

SHOES !

 


[ J'ai pas pu résister, elles sont trop belles ! ]


Oh gravity, thou art a heartless bitch !


Bonjouuuuur les geeeens !


      Ça fait un moment que je ne suis pas venue mais j'ai une super excuse : J'ai un trouble de l'oreille interne. Je suis allée chez le médecin (sous la menace de mes collègues) et j'ai donc pu constater que notre oreille ressemble étrangement à un escargot :


 Ça vous donne pas envie de retourner à l'école ? ^^

     Enfin voilà. Un des petits canaux est trop irrigué, ce qui fait que depuis mardi soir je sens la Terre tourner. Tout bouge, j'ai l'impression d'être dans un bateau au milieu d'une tempête. Du coup, je ne marche pas droit et je me casse la binette (comprendre ici je m'étale par terre de tout mon long). M'enfin, ça va mieux quand même. Je marche à peu près normalement aujourd'hui !

Donc voilà, je suis de retour sur le net et je serai de retour en France Vendredi =D


mardi 4 décembre 2012

2.21 gigowatts !


Les gens, j'ai oublié de dire à Mickaël d'amener Mr Nobody avec lui à Dungarvan





Et puis comme je n'ai rien à faire en attendant qu'il arrive, j'vais vous parler. Ouais.
Et l'avantage, c'est que vous pouvez ne pas lire, je le saurai pas  ; ]



      Déjà, moi, une narration non-linéaire, ça me rend folle d'un film. Pour peu qu'il y ait de l'amnésie, de la schizophrénie ou une réflexion un peu métaphysique sur la vie, BiM, ça devient un de mes films préférés. Ici, c'est un amas de souvenirs brouillés, un vrac de vies, d'informations que le personnage principal n'arrive pas à mettre en relation...

      Ce qui n'est pas sans rappeler Memento.


       Et dans ces deux films l'utilisation de la caméra et les effets de couleurs aident la narration. Les scènes en noir et blancs de Memento, par exemple. Et également cet effet de rembobinage. Et au passage, Carrie-Anne Moss me rappellera toujours Matrix qui est également un petit chef d'oeuvre (et là je parle du premier plus que des deux films suivants qui ont un peu trop sombrés dans le pan-pan-pziouh-dead à mon goût).
      Enfin bref, dans ce film, le personnage principal n'arrive pas à se souvenir et n'arrive pas à créer de nouveaux souvenirs. Mr Nobody, lui, ne peut pas se souvenir de sa vie car tout ce dont il se souvient n'a en réalité jamais existé. Et vous savez ce que j'ai aimé dans cette idée ? C'est qu'elle m'a rappelé une phrase de Boris Vian : "Cette histoire est vraie puisque je l'ai inventée". Gaaah !
      L'histoire est simple et complexe à la fois. Tout part d'un petit garçon qui, sur le quai d'une gare, doit choisir entre vivre avec son père et vivre avec sa mère. S'en suit alors un voyage dans la multiplicité des vies qui s'offrent à lui. Chaque petite chose, chaque choix engendrera un futur différent duquel il ne pourra s'extraire. Il lui faut donc faire le bon choix. "We cannot go back. That's why it's hard to chose". Ce petit garçon est donc face à un choix à deux conséquences, en apparence. Seulement, de ces deux possibilités découle une multitude de vies plausibles. Et comme dans Memento, on sait ce qui se passe "ensuite" (enfin, "ensuite"... c'est compliqué de situer quelque chose dans un récit non-linéaire) avant de savoir ce qui s'est initialement passé.
      Et comme je le disais avant, chaque petite chose est importante. Le lacet qui craque, la première goutte de pluie qui tombera parce qu'un mec à l'autre bout de la terre s'est fait cuire un oeuf, etc... C'est pourquoi ce film m'a également rappelé L'effet Papillon.


 Sauf que lui, il revient dans le passé pour changer l'avenir.

Déjà, grâce à ce film, on découvre qu'Ashton Kutcher n'est pas le mec débile qu'on connaissait dans le 70s show. Et en fait, c'est même un pas-mauvais-acteur-du-tout. Et puis on se pose la question de la destinée. Pourquoi, mais genre POURQUOi chaque fois "everything just goes wrong" ? Est-on réellement maître de notre existence ? L'esprit humain est-il capable de concevoir chaque possibilité, conséquence qu'un acte engendrera ?

Eh bien, la bibliothèque va fermer donc je vous laisse réfléchir à tout ça.

Et pour résumer je dirais que :
je crois que j'aime les films qui traitent de la question de l'identité et de la folie en fait pas si folle que ça.



Scène mythique qui est aussi un sublime faux raccord =D

ENJOY